¤Miyako¤ Admin neo-japanesque
Nombre de messages : 1091 Age : 32 Chanson préférée : Urei, Kisai, Rin, Shin Hyakkiyakou Membre préféré : Nao, Izumi, Shin, Akiya & Isshi Date d'inscription : 21/01/2008
| Sujet: ~san~ - Sarasoujou no komori uta Ven 11 Juil - 12:59 | |
| Sarasouju no komori uta
sou toki ni habamare nagare nagarete kuchihatete mukaeta shuuen mo inochi wo nigiru sadame de sae mo kokoro wo kaerarenai
odayaka ni mau konayuki yo mada watashi no kioku tokasanai de
kaze ni hakobareta haru no irodori ga watashi wo tsutsumikomu no haha no gotoku natsukashii uta ni yurari yuraretara shizuka ni toiki ukabe me wo tojiru no
sou kazoekirenai itami ni utare fuzoroi na ashiato kizamitsuke
ishiki wa ima mo tadayoi tsuduke fushigi to michibikareru
osanai goro wo dakishime aruku mekakushi no mama kami no yubisaki wo
saigo no toki wo mukaeru asa ni hoho wo naderu no sarasouju ga
kaze ni hakobareta haru no irodori ga watashi wo tsutsumikomu no haha no gotoku natsukashii uta ni yurari yuraretara shizuka ni toiki ukabe hitomi wo tojiru no
soshite toki wa sugi futo kiduku deshou meguri meguri tsudukeru rakuen da to 沙羅双樹の子護唄
そう時に阻まれ 流れ流れて 朽ち果てて 迎えた終焉も 命を握る 運命でさえも 心を変えられない
穏やかに舞う 粉雪よまだ 私の記憶 溶かさないで
風に運ばれた 春の香りが 私を包み込むの 母のごとく 懐かしい唄に ゆらり揺られたら 静かに吐息浮かべ 瞳を閉じるの
そう数え切れない 痛みに伐たれ 不揃いな足跡 刻み付け
意識は今も 漂い続け 不思議と 導かれる
幼い頃を 抱き締め歩く 目隠しのまま 神の指先を
最後の時を 迎える朝に 頬を撫でるの 沙羅双樹が
風に運ばれた 春の彩が 私を包み込むの 母のごとく 懐かしい唄に ゆらり揺られたら 静かに吐息浮かべ 瞳を閉じるの
そして時は過ぎ ふと気付くでしょう 巡り巡り続ける楽園だと Berceuse du carité
Oui, obstruant le temps comme s'il s'écoule et s'écoule Pourrissant, allant rencontrer ma mort Tâchant d'atteindre la vie, même si c'est le destin Je ne pourrai changer mon cœur
Dansant calmement, c'est encore de la poudre de neige, oh mes souvenirs, s'il vous plaît ne vous dissipez pas
Transportées par le vent, les couleurs du printemps M'enveloppant et me tenant, comme ma mère Je me berce à une chanson familière Un soupir vient à l'esprit et je ferme les yeux
Oui, indénombrables assauts de douleur Ces inégales empreints gravées
Maintenant ma conscience flotte Et étrangement, elle est guidée
A une époque plus enfantine, marchant en étant tenu En ayant les yeux bandés, touchant les bouts des doigts des esprits
Dans ce temps final, allant à la rencontre du matin, le carité frôle ma joue
Transportées par le vent, les couleurs du printemps M'enveloppant et me tenant, comme ma mère Je me berce à une chanson familière Un soupir vient à l'esprit et je ferme les yeux
Et maintenant ce temps est passé, je réalise seulement maintenant Comme je tournais et tournais dans cet endroit appelé les cieux | |
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